Ah, c’est ca ? Oui, ce qui semblait n’être qu’une juste loi d’adhésion du Valais au concordat instituant des mesures contre la violence lors des manifestations sportives, est à mon très humble avis (parmi d’autres) qu’une scandaleuse acceptation de criminaliser une minorité de population, d’encourager la délation, d’autoriser la publication de photos de personnes, souvent largement mineures sans la MOINDRE preuve d’une quelconque culpabilité, faisant fi de la présomption d’innocence. Il est absolument hors de question pour moi de nier l’existence de trop de violences stupides et criminelles végétant autour de nombreuses manifestations sportives. Ces guérilléras urbaines dépassent malheureusement le cadre des supporters de clubs sportifs, et une large majorité de leurs acteurs sont totalement étrangers aux fans et groupes Ultras que cette loi diabolise. Que quelques fans souvent pas plus âgés de 15 ou 16 ans aient allumé quelques fumigènes en arrivant en gare de Berne ou en montant en cortège vers le Stade, ou alors qu’ils aient dû se défendre des attaques de cagoulés adverses sous les yeux des Robocops des forces de l’ordre bernoises bienveillantes, voici que ces jeunes se retrouvent désormais fichés comme de dangereux criminels, visages reconnaissables sur internet, avec pour mission aux citoyens de les dénoncer. La STASI n’aurait pas fait mieux, et le Grand Conseil valaisan vient d’adopter à son unanimité ce CON CORDAT.
Cécile B, elle qui avait assassiné E. Stern avait au moins eu son visage flouté, tout comme le vice commandant de la police cantonale valaisanne « F E » soupçonné dans une affaire de mœurs avec une mineure n’a jamais vu apparaître ni sa photo ni ses initiales sur le moindre site internet. Et peut importe si l’actuel président du FC Sion qui avait en 2004 agressé sur le terrain de jeu à Kriens le trio arbitral, fut condamné d’absence de pelouse mais non de tribune (sic).Non, il faut criminaliser les Ultras, eux qui sont les derniers défenseurs du sport populaire, qui restent les seuls à contrer le sport business pourri, qui ne voudrait ne voir plus que des loges entourer les pelouses, et reléguer les populaires devant leurs chaines de télévisions privées payantes. Il faut encourager l’empire FIFA et son roi valaisan à cautionner des jeux de mains jeux de vilains, à édicter des règlements de constructions de stades élitistes laissant sur la touche une marge importante de ceux qui ont fait les beaux jours du sport, à ne pas enquêter sur un joueur nigérien qui a 17 ans depuis 7 ans… Il faut taire les agissements et déclarations de l’empereur martignerain du FC Sion insultant bassement ses employés. AUCUN autre entrepreneur dans ce pays ne pourrait insulter ses collaborateurs de la sorte sans que dénonciations serait prononcée, aucun employeur ne se venterait de mettre ses employés sous écoute téléphonique. Mais les grands, on ne les touche pas. Alors moi je tire un grand chapeau aux ULTRAS du monde entier pour leur résistance.Mais voilà pour beaucoup d’entre nous, personnes « bien-pensantes » de gauche, le foot c’est ringard, c’est beauf, ce n’est pas politiquement correct. Oser demander de ne pas organiser une séance le soir de la Finale sédunoise de coupe Suisse est une aberration. Oser demander de pouvoir siéger et défendre ce qui me tient à cœur le jour de l’entrée en matière et de la lecture de la loi d’adhésion du Valais au concordat instituant des mesures contre la violence lors des manifestations sportives, au parlement valaisan n’a été qu’un cris dans le désert, un pet dans l’eau. Mince alors, j’en attendais plus de vous, camarades et autres…
Cécile B, elle qui avait assassiné E. Stern avait au moins eu son visage flouté, tout comme le vice commandant de la police cantonale valaisanne « F E » soupçonné dans une affaire de mœurs avec une mineure n’a jamais vu apparaître ni sa photo ni ses initiales sur le moindre site internet. Et peut importe si l’actuel président du FC Sion qui avait en 2004 agressé sur le terrain de jeu à Kriens le trio arbitral, fut condamné d’absence de pelouse mais non de tribune (sic).Non, il faut criminaliser les Ultras, eux qui sont les derniers défenseurs du sport populaire, qui restent les seuls à contrer le sport business pourri, qui ne voudrait ne voir plus que des loges entourer les pelouses, et reléguer les populaires devant leurs chaines de télévisions privées payantes. Il faut encourager l’empire FIFA et son roi valaisan à cautionner des jeux de mains jeux de vilains, à édicter des règlements de constructions de stades élitistes laissant sur la touche une marge importante de ceux qui ont fait les beaux jours du sport, à ne pas enquêter sur un joueur nigérien qui a 17 ans depuis 7 ans… Il faut taire les agissements et déclarations de l’empereur martignerain du FC Sion insultant bassement ses employés. AUCUN autre entrepreneur dans ce pays ne pourrait insulter ses collaborateurs de la sorte sans que dénonciations serait prononcée, aucun employeur ne se venterait de mettre ses employés sous écoute téléphonique. Mais les grands, on ne les touche pas. Alors moi je tire un grand chapeau aux ULTRAS du monde entier pour leur résistance.Mais voilà pour beaucoup d’entre nous, personnes « bien-pensantes » de gauche, le foot c’est ringard, c’est beauf, ce n’est pas politiquement correct. Oser demander de ne pas organiser une séance le soir de la Finale sédunoise de coupe Suisse est une aberration. Oser demander de pouvoir siéger et défendre ce qui me tient à cœur le jour de l’entrée en matière et de la lecture de la loi d’adhésion du Valais au concordat instituant des mesures contre la violence lors des manifestations sportives, au parlement valaisan n’a été qu’un cris dans le désert, un pet dans l’eau. Mince alors, j’en attendais plus de vous, camarades et autres…
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